Lorsque j'étais jeune novillero, comme tous les toreros français, nous étions domiciliés chez "El Magno" à Vallecas...
Je me souviens qu'un jour, il avait absolument tenu à me faire déguster "le meilleur cocido de Madrid" chez "Valentín".
C'était un restaurant dans un appartement à un premier étage.
Lorsqu'il prononçait "Valentín", il insistait lourdement sur le "tín", ce qui me faisait sourire.
Voilà pourquoi lorsque je m'adresse à Valentin VINDEVOGEL, j'ai toujours une pensée émue pour "El Magno", qui était une magnifique personne comme j'en ai rencontré fort peu dans ma vie.
Je referme cette parenthèse personnelle pour vous présenter quatre jolies photos de Valentín.
Il est toujours très difficile d'avoir des photos de professionnels lors des sans picadors, d'abord parce qu'ils ne se déplacent pas, et ensuite, les amateurs dans le callejon disparaissent dès la course terminée.
Je me souviens qu'un jour, il avait absolument tenu à me faire déguster "le meilleur cocido de Madrid" chez "Valentín".
C'était un restaurant dans un appartement à un premier étage.
Lorsqu'il prononçait "Valentín", il insistait lourdement sur le "tín", ce qui me faisait sourire.
Voilà pourquoi lorsque je m'adresse à Valentin VINDEVOGEL, j'ai toujours une pensée émue pour "El Magno", qui était une magnifique personne comme j'en ai rencontré fort peu dans ma vie.
Je referme cette parenthèse personnelle pour vous présenter quatre jolies photos de Valentín.
Il est toujours très difficile d'avoir des photos de professionnels lors des sans picadors, d'abord parce qu'ils ne se déplacent pas, et ensuite, les amateurs dans le callejon disparaissent dès la course terminée.