Qui sommes-nous ?
Christian LE SUR, bien sûr, mais aussi et surtout le Maestro Julien MILETTO, nous a fait l'amitié de nous accompagner, pour ce périple salmantin. Il reprenait contact avec le monde de la becerrada, qu'il a si bien connu, quand, lui-même, élève du Centre Français, voici quelques années, il partait en déplacement en Espagne.
Un retour aux sources, donc, qui lui a permis de constater le bon niveau du jeune Raphaël RAUCOULE, la qualité de l'enseignement et de sa préparation dirigée par le Maestro Patrick VARIN, avant une prestation en public, toujours synonyme de pression à supporter.
Un retour aux sources, donc, qui lui a permis de constater le bon niveau du jeune Raphaël RAUCOULE, la qualité de l'enseignement et de sa préparation dirigée par le Maestro Patrick VARIN, avant une prestation en public, toujours synonyme de pression à supporter.
Toujours soucieux de mettre en condition nos élèves, le plus souvent possible, le rendez-vous fut pris jeudi soir. Le véhicule était chargé comme un baudet, car les toreros se déplacent toujours avec le baùl de la Picquer!
Chacun a pris sa place, avec son oreiller pas loin, en prévision d'une nuit que nous allions passer à rouler, vers Campo de Ledesma, notre première étape, à 1300 km.
Le départ est donné à 21 heures.
Nous voilà, donc, dans le "coche de cuadrilla", notre itinéraire nous faisant passer par la route du Sud-Ouest, Toulouse, Bayonne, Burgos, Valladolid et Salamanca.
Une halte toutes les deux heures, changement de chauffeur oblige et petit jus d'orange pour maintenir la vigilance.
Les vraies conditions étaient réunies. Une pause, vers 6 heures du matin, nous a permis un petit somme, plus tranquille, devant une cafétéria accueillante, pour faire un brin de toilette et prendre un petit déjeuner tout-à-fait bienvenu.
Chacun a pris sa place, avec son oreiller pas loin, en prévision d'une nuit que nous allions passer à rouler, vers Campo de Ledesma, notre première étape, à 1300 km.
Le départ est donné à 21 heures.
Nous voilà, donc, dans le "coche de cuadrilla", notre itinéraire nous faisant passer par la route du Sud-Ouest, Toulouse, Bayonne, Burgos, Valladolid et Salamanca.
Une halte toutes les deux heures, changement de chauffeur oblige et petit jus d'orange pour maintenir la vigilance.
Les vraies conditions étaient réunies. Une pause, vers 6 heures du matin, nous a permis un petit somme, plus tranquille, devant une cafétéria accueillante, pour faire un brin de toilette et prendre un petit déjeuner tout-à-fait bienvenu.
Nous avons atteint Ledesma vers 9h30, par un temps extrêmement agréable, soleil radieux, pas de vent, mais un petit air frisquet, qui nous rappelle qu'ici les hivers sont rudes et qu'il faut avoir l'aficion, quand on y vient s'entraîner.
Notre entraînement étant fixé à 12 heures, nous avons profité de ce moment de répit pour nous dégourdir les jambes, en visitant ce petit village charmant, rénové en respectant le style de l'époque : granit, ferronneries, cuivre et pavés dans les rues.
Ce village domine une vallée et le rio Tormes serpente en contrebas.
Après ce petit interlude, nous repartons pour regagner l'élevage ESPIOJA, où de nombreux bouledogues costauds mais fort sympathiques nous accueillent.
L'entraînement peut commencer...en voici quelques clichés.
Notre entraînement étant fixé à 12 heures, nous avons profité de ce moment de répit pour nous dégourdir les jambes, en visitant ce petit village charmant, rénové en respectant le style de l'époque : granit, ferronneries, cuivre et pavés dans les rues.
Ce village domine une vallée et le rio Tormes serpente en contrebas.
Après ce petit interlude, nous repartons pour regagner l'élevage ESPIOJA, où de nombreux bouledogues costauds mais fort sympathiques nous accueillent.
L'entraînement peut commencer...en voici quelques clichés.
