Nous remercions les 175 aficionados de leur présence à la Fiesta Campera organisée par le Centre Français de Tauromachie et l’AFAP.
Nous avons attendu que l’ardeur du soleil s’estompe pour débuter l’activité taurine.
Chaque association a présenté ses élèves et quatre novillos de Jean-Baptiste JALABERT ont été combattus et mis à mort par Valentin et Gauthier du CFT et par Alexandre et Albin de l’AFAP.
Nous avons attendu que l’ardeur du soleil s’estompe pour débuter l’activité taurine.
Chaque association a présenté ses élèves et quatre novillos de Jean-Baptiste JALABERT ont été combattus et mis à mort par Valentin et Gauthier du CFT et par Alexandre et Albin de l’AFAP.
Valentin affrontait le toro le plus fort, il s’est bien battu, il a bien tué et le public l’a récompensé par ses applaudissements.
Puis, ce fut au tour de l’élégant Gauthier – Finito de Nîmes- de nous régaler par ses passes très templées dont il a le secret.
Albin fermait le cartel, il a eu le pundonor de se maintenir au niveau de ses camarades avec un toro un peu plus compliqué.
Dans l’ensemble, la partie taurine s’est déroulée d’une manière parfaitement satisfaisante en présence du ganadero, maître des lieux. Il a félicité tous les participants à l’issue du spectacle.
Quant à la partie festive, nous nous félicitons d’avoir choisi "por la tarde".
Quant à la partie festive, nous nous félicitons d’avoir choisi "por la tarde".
Après l’apéritif bien frais, un repas a été apporté par les élèves du CFT qui se sont stimulés les uns les autres afin que les invités n’aient pas à se lever pour se servir.
Tout au long du repas, ils sont passés entre les tables pour surveiller afin que rien ne manque et notamment, proposer des glaçons.
Une pissaladière en amuse-bouche précédait le délicieux Rougail cuisiné depuis le matin par Jean-Luc JOUET, des éclairs au chocolat ont clôturé le repas, avec café bien sûr.
Le point très positif est que, sur chaque table, à côté de la bouteille de vin offerte, il y avait deux grosses bougies à la citronnelle qui ont éloigné les rares moustiques dont on pouvait craindre les attaques.
Tout au long du repas, ils sont passés entre les tables pour surveiller afin que rien ne manque et notamment, proposer des glaçons.
Une pissaladière en amuse-bouche précédait le délicieux Rougail cuisiné depuis le matin par Jean-Luc JOUET, des éclairs au chocolat ont clôturé le repas, avec café bien sûr.
Le point très positif est que, sur chaque table, à côté de la bouteille de vin offerte, il y avait deux grosses bougies à la citronnelle qui ont éloigné les rares moustiques dont on pouvait craindre les attaques.
Les convives se sont attardés tard dans la nuit profitant de la température clémente et d’une agréable ambiance musicale.
Ce n’est pas dans nos habitudes de le dire mais, vraiment, nous sommes fiers de nous.
Ce n’est pas dans nos habitudes de le dire mais, vraiment, nous sommes fiers de nous.