Qui sommes-nous ?
...je viens de gagner le 1er bolsin Terre d’Argence, de remporter le 20ème trophée Nimeno II, et triompher dans les arènes de Bellegarde. Faut tout de même le faire !
Le 1er trophée Nimeno II, régulièrement organisé par le Centre Français de Tauromachie, fut gagné par mon apoderado "Luisito". C’est vous dire s’il est fier de moi !
Pour triompher à Bellegarde, ce dimanche d’été du 25 août, où parfois le ciel faisait penser que nous étions déjà en automne, il m’a fallu batailler ferme. Il faut reconnaître que les novillos de l’élevage de Patrick Laugier "Piedras Rojas" étaient beaux et bons.
Mes compagnons de cartel étaient redoutables. David Gonzalez, favorisé par le tirage au sort, eut un deuxième novillo, le quatrième de la course, qui fut honoré d’une vuelta. Jésus Mayo était mon adversaire le plus redouté. Très fin dans son toréo, très élégant dans ses postures, il perdit les oreilles lors des mises à mort.
C’est à mon 2ème novillo, le dernier de la course, que j’ai été cherché le triomphe. Porta gayola, pas très bien réussie d’ailleurs, farola à genoux pour faire monter l’ambiance dans le public. Ce novillo était sérieux : il m’a fortement bousculé. Une estocade engagée et efficace, pour le reste. Le président Laurent Burgoa m’accorda les deux oreilles.
Vuelta… Sortie à hombros. Je suis un novillero heureux…
N’oubliez pas mon nom : Pablo AGUADO.
Je vais tout faire pour que vous vous en souveniez. »
JYB.
Le 1er trophée Nimeno II, régulièrement organisé par le Centre Français de Tauromachie, fut gagné par mon apoderado "Luisito". C’est vous dire s’il est fier de moi !
Pour triompher à Bellegarde, ce dimanche d’été du 25 août, où parfois le ciel faisait penser que nous étions déjà en automne, il m’a fallu batailler ferme. Il faut reconnaître que les novillos de l’élevage de Patrick Laugier "Piedras Rojas" étaient beaux et bons.
Mes compagnons de cartel étaient redoutables. David Gonzalez, favorisé par le tirage au sort, eut un deuxième novillo, le quatrième de la course, qui fut honoré d’une vuelta. Jésus Mayo était mon adversaire le plus redouté. Très fin dans son toréo, très élégant dans ses postures, il perdit les oreilles lors des mises à mort.
C’est à mon 2ème novillo, le dernier de la course, que j’ai été cherché le triomphe. Porta gayola, pas très bien réussie d’ailleurs, farola à genoux pour faire monter l’ambiance dans le public. Ce novillo était sérieux : il m’a fortement bousculé. Une estocade engagée et efficace, pour le reste. Le président Laurent Burgoa m’accorda les deux oreilles.
Vuelta… Sortie à hombros. Je suis un novillero heureux…
N’oubliez pas mon nom : Pablo AGUADO.
Je vais tout faire pour que vous vous en souveniez. »
JYB.
