Tomas Ubeda, débutera sa faena par une larga afarolada de rodillas, suivies de jolies véroniques, de chicuelinas serrées et d’une rebolera pour remater le Los Galos.
Aux banderilles, il se distingue.
La première au balcon, la seconde, une paire de courtes qu’il posera au quiebro contre les planches.
Débutant sa faena à genoux, Tomas montrera aux gradins emballés, un répertoire varié, toujours dans le cacho.
Il tue son adversaire d’une entière un peu tombée et ne récoltera qu’une oreille.
Il est dommage que la présidence ne lui ait pas accordé le second trophée, mérité pourtant, que le public réclamait.
Aux banderilles, il se distingue.
La première au balcon, la seconde, une paire de courtes qu’il posera au quiebro contre les planches.
Débutant sa faena à genoux, Tomas montrera aux gradins emballés, un répertoire varié, toujours dans le cacho.
Il tue son adversaire d’une entière un peu tombée et ne récoltera qu’une oreille.
Il est dommage que la présidence ne lui ait pas accordé le second trophée, mérité pourtant, que le public réclamait.
Bastien Cloez affichera un calme étonnant face à un Los Galos playero. Elégant au capote, concentré, il fera preuve à la muleta d’un toreo classique et poderoso.
Tout se passait parfaitement bien quand, se profilant pour en terminer, il prendra une très grosse voltereta. Il faut dire que Bastien s’est jeté sur le Los Galos comme si l’animal n’avait pas de cornes.
Le novillero, le souffle coupé, sonné, se repositionnera pour une seconde entrée a matar. Il fera tout de même la vuelta que les gradins sollicitaient et qu’il méritait amplement.
Tout se passait parfaitement bien quand, se profilant pour en terminer, il prendra une très grosse voltereta. Il faut dire que Bastien s’est jeté sur le Los Galos comme si l’animal n’avait pas de cornes.
Le novillero, le souffle coupé, sonné, se repositionnera pour une seconde entrée a matar. Il fera tout de même la vuelta que les gradins sollicitaient et qu’il méritait amplement.
Bastien Cloez affichera un calme étonnant face à un Los Galos playero. Élégant au capote, concentré, il fera preuve à la muleta d’un toreo classique et poderoso.
Tout se passait parfaitement bien quand, se profilant pour en terminer, il prendra une très grosse voltereta.
Il faut dire que Bastien s’est jeté sur le Los Galos comme si l’animal n’avait pas de cornes.
Le novillero, le souffle coupé, sonné, se repositionnera pour une seconde entrée a matar.
Il fera tout de même la vuelta que les gradins sollicitaient et qu’il méritait amplement.
Tout se passait parfaitement bien quand, se profilant pour en terminer, il prendra une très grosse voltereta.
Il faut dire que Bastien s’est jeté sur le Los Galos comme si l’animal n’avait pas de cornes.
Le novillero, le souffle coupé, sonné, se repositionnera pour une seconde entrée a matar.
Il fera tout de même la vuelta que les gradins sollicitaient et qu’il méritait amplement.
L’après-midi
C’est en traje de luces et tête nue que les novilleros feront le paseo.
Joaquin vêtu de blanc fera preuve de son sérieux habituel… Ce qui ne fut pas du goût de certains béotiens. Les mêmes qui, il y a longtemps, disaient que le toreo d’El Viti était fade !
Joaquin brindera son premier adversaire à ses copains du CFT.
Se faisant désarmer sur un remate, Il donnera ensuite une faena bien construite, pleine d'aguante.
Les artifices trop souvent en vigueur aujourd’hui, toujours absents de son trasteo et une demi-lame, ne lui permettront qu’une vuelta.
Joaquin brinde son second novillo à son mentor, Christian LE SUR, ému, et s’arrimera toujours avec autant de sérieux devant un animal costaud.
Le garçon cite toujours de face, avec sincérité. Bien dans le cacho, il semble que le mot reculer ne fasse pas partie de son vocabulaire.
Les deux descabellos qui suivront l’épée, lui ont-ils enlevé le second trophée ?
C’était une novillada non piquée et nous avons malheureusement vu des "épées de gendarmes" récompenser des matadors célèbres en exercice ! À méditer.
C’est en traje de luces et tête nue que les novilleros feront le paseo.
Joaquin vêtu de blanc fera preuve de son sérieux habituel… Ce qui ne fut pas du goût de certains béotiens. Les mêmes qui, il y a longtemps, disaient que le toreo d’El Viti était fade !
Joaquin brindera son premier adversaire à ses copains du CFT.
Se faisant désarmer sur un remate, Il donnera ensuite une faena bien construite, pleine d'aguante.
Les artifices trop souvent en vigueur aujourd’hui, toujours absents de son trasteo et une demi-lame, ne lui permettront qu’une vuelta.
Joaquin brinde son second novillo à son mentor, Christian LE SUR, ému, et s’arrimera toujours avec autant de sérieux devant un animal costaud.
Le garçon cite toujours de face, avec sincérité. Bien dans le cacho, il semble que le mot reculer ne fasse pas partie de son vocabulaire.
Les deux descabellos qui suivront l’épée, lui ont-ils enlevé le second trophée ?
C’était une novillada non piquée et nous avons malheureusement vu des "épées de gendarmes" récompenser des matadors célèbres en exercice ! À méditer.
L'humeur de Christian LE SUR au sujet de Tomas UBEDA :
Au regard de l'oreille octroyée pour le médiocre travail du premier novillo, nous considérons que la faena de Tomas UBEDA n'a pas obtenu une juste récompense.
Admettons que le Président, Néron d'un jour, ait voulu rabaisser le prestige du Centre Français de Tauromachie, en revanche, nous ne pouvons admettre que, pour ce faire, il s'en prenne, à un adolescent de 15 ans, joyeux et acclamé par tous.
Manier, avec autant de mépris, l'injustice de son pouvoir éphémère, est indigne, méprisable, petit.
Mais cela n'a qu'une importance très relative, l'essentiel, c'est la satisfaction de constater les progrès qu'ont réalisés nos élèves, grâce à une formation bi-hebdomadaire de tout l'hiver et aussi, au stage intensif qu'ils viennent de suivre.
Le public ne s'y est pas trompé.
Au regard de l'oreille octroyée pour le médiocre travail du premier novillo, nous considérons que la faena de Tomas UBEDA n'a pas obtenu une juste récompense.
Admettons que le Président, Néron d'un jour, ait voulu rabaisser le prestige du Centre Français de Tauromachie, en revanche, nous ne pouvons admettre que, pour ce faire, il s'en prenne, à un adolescent de 15 ans, joyeux et acclamé par tous.
Manier, avec autant de mépris, l'injustice de son pouvoir éphémère, est indigne, méprisable, petit.
Mais cela n'a qu'une importance très relative, l'essentiel, c'est la satisfaction de constater les progrès qu'ont réalisés nos élèves, grâce à une formation bi-hebdomadaire de tout l'hiver et aussi, au stage intensif qu'ils viennent de suivre.
Le public ne s'y est pas trompé.