Dans le Sud Ouest, notre élève Antoine MADIER s'était choisi, pour tuer son premier novillo, un joli taureau des Frères Bats, plutôt imposant -pour une première épée !
Pour se mettre un peu plus la pression, il avait invité des "empresas" du coin, Messieurs Jean Gilbert (Saint Sever , Arzacq, Mugron) et Bernard Langlade.
Patrick VARIN a fait le déplacement pour le conseiller, El Rafi pour l'assister à la brega et le banderiller magnifiquement .
Tout s'est parfaitement déroulé, une faena valeureuse, une estocada excellente.
L'aprés-midi, Le Houga, sympathique petite commune du Gers, avec son arène landaise rectangulaire, attendait nos jeunes "Minots Toreros", désormais célèbres, depuis leurs "triomphes" remportés dans la placita du Bosquet de la Fontaine, à l'occasion de la Feria des Vendanges de Nîmes. Leur réputation les précédait, il ne fallait pas décevoir!
Gros succès de SOLALITO avec la première vache...
Puis El NINO "enorme" comme on dit en Espagne, Porta gayola pour recevoir son adversaire, cambio au centre, pour débuter sa faena de Muleta... pour ceux qui connaissent El NINO nous vous laissons imaginer la suite... un grand succès pour les deux.
Le Maestro Varin - aux anges...!
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Et pendant ce temps là, à BOUILLARGUES, le Centre Français offrait à la Peña La Embestida le spectacle matinal en entrée gratuite.
Les spectateurs, venus assez nombreux, ont pu découvrir nos nouveaux -futurs- talents : QUENTIN, RAFAEL, ARTHUS et le jeune KILIAN (8ans) qui faisait ses premiers pas en public.
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Les spectateurs, venus assez nombreux, ont pu découvrir nos nouveaux -futurs- talents : QUENTIN, RAFAEL, ARTHUS et le jeune KILIAN (8ans) qui faisait ses premiers pas en public.
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L'après-midi, un grand rendez-vous attendait Tomas UBEDA, le cartel réunissait les novilleros les plus en pointe de la temporada : Adrien SALENC, avec 42 novilladas toréées dans l'année, Tibo GARCIA, 32. Notre jeune élève, avec ses 12 courses semblait promis à une place de spectateur !
Les novillos choisis, comme chaque année, avec un fort trapio et présentés limpios, ne laissaient pas la place à l'improvisation.
Tomas UBEDA, qui avait déjà prouvé, à Carcassonne, son courage et son sens de la lidia, a tenu la dragée haute à ses 2 compagnons de cartel et ne s'est pas laissé impressionner. Il a toréé, banderillé, avec beaucoup de transmission envers le public. Avec son deuxième novillo, qu'il a parfaitement compris, il s'est laissé aller à une expression très personnelle, au travers d'une faena construite, démontrant une technique maîtrisée, s'abandonnant pour offrir des gestes d'une exceptionnelle profondeur. Le public a été séduit par sa fraîcheur et sa joie communicative. Il a prouvé que les écoles ne formatent pas leurs élèves et, au contraire, il s'est distingué de la monotonie classique des novilleros d'aujourd'hui. C'est cette fraîcheur qui, nous l'espérons, va ramener un public jeune sur les gradins.
Pour l'histoire, TOMAS UBEDA a eu la délicatesse d'offrir la mort de son premier novillo au Maestro Paquito LEAL qui portait, pour la dernière fois, le costume de lumières.
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Les novillos choisis, comme chaque année, avec un fort trapio et présentés limpios, ne laissaient pas la place à l'improvisation.
Tomas UBEDA, qui avait déjà prouvé, à Carcassonne, son courage et son sens de la lidia, a tenu la dragée haute à ses 2 compagnons de cartel et ne s'est pas laissé impressionner. Il a toréé, banderillé, avec beaucoup de transmission envers le public. Avec son deuxième novillo, qu'il a parfaitement compris, il s'est laissé aller à une expression très personnelle, au travers d'une faena construite, démontrant une technique maîtrisée, s'abandonnant pour offrir des gestes d'une exceptionnelle profondeur. Le public a été séduit par sa fraîcheur et sa joie communicative. Il a prouvé que les écoles ne formatent pas leurs élèves et, au contraire, il s'est distingué de la monotonie classique des novilleros d'aujourd'hui. C'est cette fraîcheur qui, nous l'espérons, va ramener un public jeune sur les gradins.
Pour l'histoire, TOMAS UBEDA a eu la délicatesse d'offrir la mort de son premier novillo au Maestro Paquito LEAL qui portait, pour la dernière fois, le costume de lumières.
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